Pour l' ong ces arrestations sont illegales et demande la liberation de ces civiles ,selon eux ce son principalement dxes jeunes et des personnes agés  au total près de 160 personnes, qui ont été arrêtées le jeudi 2 mars.

Dans ses propos l'ong parle de plus d'une centaine de millitaires qui ont fait le déplacement tot le matin dans ce petit village  de Matoh, Kindongi, Mbonge-Batoke, Mboh-Barombi et Ediki, des arrondissements de Mboge et Konye. suite à une dénonciation du préfet du département de la Mémé.   

 

 Un comportement  inapproprié 

Selon le secretaire exécutif permanent de l'organisation Mandela Center International, les habitants ont été conduit dans un premier temps à la gendarmerie de Kumba. Seuls quatorze d'entre eux ont été inculpés par un magistrat militaire pour

« terrorisme, complicité de terrorisme, fabrication d'armes artisanales et atteinte à la sûreté intérieure de l'État ».

Des arrestations qui font écho,selon un confrère, à celles qui ont eu lieu le 12 février dernier dans le département du Fako, dans la localité d'Ekona. 97 jeunes avaient été interpellés. Les femmes ont protesté le 14 février à Buea devant les bureaux du maire et du gouverneur de la région du Sud-Ouest et dans les jours suivants, 81 jeunes ont été relâchés. 

 

 

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